De nouveaux attentats islamistes sur notre sol

De nouveaux attentats islamistes sur notre sol

Vendredi 3 janvier, un terroriste islamiste a attaqué plusieurs personnes à Villejuif, tuant un homme à l’arme blanche et blessant 2 femmes, criant « Allah Akbar ». Le parquet national antiterroriste s’est saisi samedi soir de l’enquête.

Dimanche 5 janvier, un homme fiché S pour radicalisation menaçait plusieurs passants d’un couteau en criant « Allah Akbar », à Metz. Le parquet national antiterroriste à Paris ne s’est pas saisi à ce jour.

Dimanche 5 janvier dans la soirée, une femme fichée au Fichier des personnes recherchées (FPR) intégralement voilée et armée d’un couteau a été interpellée gare d’Austerlitz à Paris. Elle a été signalée par plusieurs voyageurs, parlant seule à haute voix, l’index en l’air, multipliant les allers-retours dans la gare. 

POSITION DES RÉPUBLICAINS :

Depuis 2012, la barbarie islamiste a fait plus de 260 victimes sur notre sol. Sur les 24 terroristes ayant participé à une attaque meurtrière, les trois quarts étaient fichés pour radicalisation (19) et un quart était de nationalité étrangère (6).

La lutte contre l’islamisme est l’angle mort du quinquennat d’Emmanuel Macron. Ils’est toujours opposé à la déchéance de nationalité et à la mise en rétention des individus fichés les plus dangereux. Il a sorti notre pays de l’état d’urgence et ainsi abaissé notre niveau de protection.

NOS PROPOSITIONS :

• Expulser les étrangers ayant des liens avec les mouvances islamistes. Parmi les près de 20 000 personnes inscrites au fichier des signalés pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), on recense quelque 3400 étrangers.

• Fermer définitivement les lieux de culte islamistes et interdire tout financement étranger d’une association cultuelle.

• Mettre en rétention administrative les individus les plus menaçants aux fins de prévenir des actes de terrorisme.

• Mettre à l’isolement les détenus radicalisés ou en voie de radicalisation.

• Étendre la rétention de sûreté aux crimes et délits terroristes, ce qui permettra de ne pas laisser dans la nature des terroristes toujours dangereux à leur sortie de prison.

• Procéder à une enquête administrative préalable à l’embauche dans les services publics et dans les secteurs sensibles (écoles, transports, aéroports, sites SEVESO…).

• Interdire le retour de ceux qui sont partis faire le djihad en leur retirant leur nationalité comme le fait le Royaume-Uni. Pour éviter leur retour, nous avons proposé de prendre l’initiative en Irak d’un tribunal pénal international, d’un Nuremberg des djihadistes, pour prononcer des peines d’exception. Ainsi ils seraient jugés, condamnés et détenus sur place. Ils ont trahi la France, ils n’ont plus leur place en France.

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